Le port d’un cuissard

Illustration de cuissard

Lors des courses d’endurance, l’alternance des changements d’angle de chaque côté de la machine amène régulièrement chez les pilotes des échauffements au niveau de l’entre jambes. Le port d’une chamoisine de qualité permet d’éviter ces problèmes de « selle » car elle est à la fois antibactérienne et sert d’éponge à la sueur. Le port d’un cuissard de vélo va donc limiter ces problèmes. Il est conseillé pour des raisons d’hygiène et de temps de séchage d’en amener au moins trois sur une course de 24 heures.

Le massage

Illustration de massage

Entre les relais, pour optimiser la récupération, beaucoup de pilotes se font masser. Mais attention au choix d’huile de massage. Elle ne doit pas être à base de camphre au risque d’occasionner trop de froid pour le pilote. Il fait suffisamment froid sur le circuit du Mans à trois ou quatre heures du matin !!

Le paddock, la nuit

La pupille de l’œil se dilate lorsque l’obscurité se fait sentir sur le circuit (« médriase ») et inversement, elle se rétracte lorsque l’on est face à la lumière (« myosis »). Autrement dit, lors des relais de nuit, on prendra la précaution de laisser le pilote dans la pénombre afin de faciliter son temps d’adaptation lorsqu’il sera de nouveau amené à prendre la moto (et ce malgré les lumières des stands). Au premier virage, sa pupille sera prête